Découvrez le témoignage de Sylvie Raspillère, membre et donatrice d’Amnesty International sur le don par prélèvement automatique et l’importance du face à face.
Un Bonjour, un sourire, et quelques minutes partagées en face à face permettent chaque jour à de nombreux citoyen.ne.s de concrétiser leur volonté de soutenir les causes d’intérêt général qui leur tiennent à cœur. Sylvie Raspillère témoigne de cette rencontre enrichissante et détaille les motivations qui l’ont incitée à soutenir l’association Amnesty International en souscrivant à un prélèvement automatique mensuel.
Mieux connaître une cause d’intérêt général
« Il expliquait très bien les objectifs, les moyens d’Amnesty International […] il était très patient, très à l’écoute des objections que je pouvais avoir, et il avait réponse à tout. », Sylvie Raspillère
Les campagnes de sensibilisation en face à face sont l’une des rares possibilités qui permet aux citoyen.ne.s d’avoir un échange direct avec un.e interlocuteur.rice – formé.e à l’objet social d’une association ou d’une fondation – pour lui poser des questions sur ses programmes, son fonctionnement, ses activités… Grace à une conversation en direct, les citoyen.ne.s ont la possibilité de mieux connaitre l’organisation et d’adhérer à ses valeurs.
Donner en toute simplicité
« Un prélèvement mensuel, cela permet de donner régulièrement, systématiquement, sans être obligé de se dire : ‘Il faut que j’y pense’. », Sylvie Raspillère
Les campagnes de sensibilisation ne donnent lieu à aucun transfert d’argent dans la rue : il s’agit d’obtenir l’adhésion aux valeurs de l’organisation. Les futur.e.s donateur.rice.s signent un prélèvement SEPA et s’engagent à donner tous les mois une somme de leur choix. Ces signatures de mandats ne font l’objet d’un don qu’au moment du premier prélèvement. Le donateur.rice a la possibilité de suspendre ou d’arrêter son don très facilement par un simple appel à l’association ou à la fondation.
Permettre aux organisations d’avoir les moyens d’agir
« Je trouve cela intéressant que l’argent que j’apporte soit consacré à Amnesty, à ses actions, et pas à des frais de gestions inutiles. », Sylvie Raspillère
Les fonds privés issus de la collecte en face à face constituent des fonds non dédiés indispensables pour les organisations. Ils sont essentiels puisqu’ils permettent des avancées sur des problématiques et des sujets méconnus du grand public, qui attirent peu l’attention et l’intérêt des bailleurs de fonds, des politiques et des médias.
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